La médiathèque participe à la 13e édition du film documentaire. Mardi soir, elle proposait la projection du film de Delphine Deloget, « Brassens et la Jeanne ». Au préalable, le nombreux public présent a découvert le film réalisé par les enfants du centre de loisirs, « L’amitié, c’est pas gagné », pour le festival Animages qui s’est déroulé à Landerneau au début du mois. Il a obtenu le premier prix pour les décors. Pas mal pour une première participation.
Pour l’amour de Jeanne
Concernant le film de Delphine Deloget, l’idée de départ était Brassens et la Bretagne. Mais très vite, la réalisatrice s’est aperçue que cet attachement tenait à une personne : Jeanne, native des « Côtes du Nord », rencontrée dans l’Impasse qui sera pendant des années son port d’attache à Paris. Amour un peu fou que celui de Georges et Jeanne : différence d’âge, elle a 30 ans de plus ; différence d’origine, lui, le Sétois ; différence de culture... Et pourtant, c’est chez elle qu’il écrira l’essentiel de son oeuvre poétique et musicale après s’être essayé sans succès au roman. C’est l’histoire de Georges, de Jeanne, des balades en Bretagne, des copains aussi, bien sûr, réalisée à partir d’images d’archives, retrouvées de ci, de là, et accompagnées des chansons et ballades de l’artiste. À la suite de la projection, les discussions et échanges entre spectateurs ont permis à chacun d’apporter un peu de sa connaissance sur Brassens sorti de l’anonymat grâce à... Jeanne.
Les gradins de la médiathèque étaient bien remplis, rien que des admirateurs de Brassens et fort connaisseurs sur sa vie et son oeuvre.
Le Télégramme - Jean Morvan - 22 novembre 2012
Pour l’amour de Jeanne
Concernant le film de Delphine Deloget, l’idée de départ était Brassens et la Bretagne. Mais très vite, la réalisatrice s’est aperçue que cet attachement tenait à une personne : Jeanne, native des « Côtes du Nord », rencontrée dans l’Impasse qui sera pendant des années son port d’attache à Paris. Amour un peu fou que celui de Georges et Jeanne : différence d’âge, elle a 30 ans de plus ; différence d’origine, lui, le Sétois ; différence de culture... Et pourtant, c’est chez elle qu’il écrira l’essentiel de son oeuvre poétique et musicale après s’être essayé sans succès au roman. C’est l’histoire de Georges, de Jeanne, des balades en Bretagne, des copains aussi, bien sûr, réalisée à partir d’images d’archives, retrouvées de ci, de là, et accompagnées des chansons et ballades de l’artiste. À la suite de la projection, les discussions et échanges entre spectateurs ont permis à chacun d’apporter un peu de sa connaissance sur Brassens sorti de l’anonymat grâce à... Jeanne.

Les gradins de la médiathèque étaient bien remplis, rien que des admirateurs de Brassens et fort connaisseurs sur sa vie et son oeuvre.
Le Télégramme - Jean Morvan - 22 novembre 2012